Ce week-end aurait dû se courir le premier Grand Prix de Vietnam de l’Histoire de la F1, mais celui-ci a été reporté à une date inconnue à cause de la pandémie en cours, et l’architecte des circuits, Hermann Tilke, décrit la tristesse de ses employés.
"Ca fait très mal car beaucoup d’entre nous avons travaillé dessus" avoue Tilke. "Nous avons même des ingénieurs qui sont encore sur site. Il y a eu tant d’efforts et de larmes en près d’un an et demi, car tout n’a pas été facile dans la construction."
L’architecte regrette que le monde entier ne puisse pas découvrir le circuit de Hanoï, semi-permanent et empruntant aussi des rues de la capitale vietnamienne : "Ça nous attriste que cette conclusion heureuse n’ait pas lieu."
Il décrit ce qui est, selon lui, le meilleur moment lorsqu’un nouveau circuit est utilisé : "Quand vous voyez la première voiture prendre la piste durant les premiers essais libres, mais aussi quand la course débute le dimanche, ce sont les meilleurs moments."