Plusieurs pilotes de F1 ont récemment déclaré qu’il était nécessaire que les plateformes de réseaux sociaux telles que Facebook, Instagram et, surtout, Twitter, devaient faire davantage pour sanctionner les déferlements de commentaires haineux, qui se lancent parfois pour la plus petite des polémiques dans le sport.
Yuki Tsunoda a en été récemment victime, lorsque certains ont crié au complot lors de son abandon en course à Zandvoort, provoquant l’apparition de la voiture de sécurité dans un bon timing pour Red Bull. Le Japonais revient sur cet épisode et sur la façon dont les réseaux sociaux l’influence.
"Alors déjà, pour l’influence, je contrôle assez bien ce genre de choses. Bien mieux que l’an dernier !" nous répond-il.
"Je reconnais certaines personnes qui aiment parler de mes mauvaises situations, mais je ne lis pas de commentaires réels de leur part. Il n’y a rien de sérieux et de correctement argumenté."
"Je ne vais pas beaucoup sur les réseaux sociaux de toute façon. Je m’en fous vraiment ! Ma performance ne sera pas affectée par quoi que ce soit de la part des gens, en particulier ceux qui sont contre nous, cela n’affectera pas ma performance ou mon humeur ou quoi que ce soit. Pour moi, de voir qu’il y a des gens qui disent ces choses, c’est juste drôle."
"Pour Zandvoort... effectivement ça a franchi un stade... J’ai été surpris, pour être honnête, de la façon dont les gens ont réago. C’était juste une chose très simple, un problème avec la voiture. Et les ingénieurs au début n’ont pas vu le problème dans les données, c’est pourquoi nous avons repris la piste."
"Ensuite, nous avons clairement vu le problème, la vidéo et le son ont été diffusés, c’était clair pour tout le monde et c’est pourquoi nous nous sommes arrêtés. C’est aussi simple que cela. Mais bon les gens aiment créer des drames. C’est un peu frustrant mais au final je m’en fous !"