Les essais hivernaux, comme les essais privés, sont de plus en plus réduits d’année en année, pour des questions de coûts.
En 2020, seuls 6 jours d’essais à Barcelone persistent ainsi que deux jours après le dernier Grand Prix, à Abu Dhabi, lors d’une séance traditionnellement dédiée aux nouveaux pneus Pirelli.
Les circuits de F1 accueillant donc des essais privés sont de plus en plus limités. Sebastian Vettel admet qu’il aimerait un peu plus de variété.
"J’aimerais probablement pouvoir faire des tests sur un autre circuit. Je n’ai rien contre Barcelone mais c’est juste que nous venons tellement de fois ici," explique le pilote Ferrari.
"Ce n’est pas un problème car c’est un circuit qui reste un beau défi pour les pilotes et les ingénieurs afin de bien explorer tout le potentiel d’une voiture. C’est une partie de la Formule 1 que j’apprécie aussi. Mais ce n’est pas le circuit le plus fun. C’est surtout que nous avons toujours les mêmes virages, encore et encore. Peut-être que s’il pouvait changer, on s’amuserait un peu plus. Mais ça fait partie du jeu."
Le circuit de Barcelone propose deux anciennes configurations, plus rapides, mais plus dangereuses et qui ne sont plus utilisées.
Récemment, Jerez et le Paul Ricard se sont proposés pour accueillir des essais privés ou des essais hivernaux. Ce ne serait pas forcément une bonne idée selon Franz Tost.
"Je préfère Barcelone. Si on prend le Paul Ricard, sa surface n’est pas optimale pour des tests comme Barcelone. La météo peut être superbe là-bas mais il peut faire très, très froid aussi, avec du vent (le Mistral). Et ce vent en été peut parfois vous donner l’impression d’être en hiver. Cela n’a pas été une bonne expérience pour moi dans le passé."
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