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Verstappen explique ce qui ’manque’ dans les courses virtuelles

Mais son simulateur l’aide à progresser en F1

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Max Verstappen est un fan de compétitions automobiles virtuelles, et le double champion du monde de F1 a expliqué ce qui lui manque lorsqu’il court sur son simulateur. Il précise toutefois que les sensations par rapport aux simulateurs professionnels sont de plus en plus proches.

"Oui, les forces G vous manquent vraiment" a déclaré Verstappen. "Et dans une vraie course, on se fie beaucoup à ce que l’on ressent dans le volant. Je dois dire, cependant, que les simulateurs sont de plus en plus précis, je dirais qu’ils sont maintenant à 90 % de la précision d’une vraie voiture de course."

Le Néerlandais n’est ainsi pas étonné de voir de nombreux pilotes être de plus en plus assidus sur les compétitions en ligne. Il note aussi que le facteur de fatigue physique est une grande différence par rapport à la réalité.

"Je le pense, et beaucoup de vrais pilotes aiment rouler sur le simulateur pendant leur temps libre. Je continue à penser que pour les personnes qui ont grandi en utilisant uniquement un simulateur, c’est un grand pas de passer directement à la course dans le monde réel."

"Mais nous avons déjà vu cela se produire, rien n’est impossible. Une autre différence essentielle réside dans le fait que les courses réelles ont un caractère physique, il faut être en forme et bien entraîné. Sur un simulateur, même si vous n’avez pas ces qualités, vous pouvez toujours être très rapide.

Une expérience utile pour la F1

Il est parfois difficile d’être tranquille en pilotant chez soi de manière virtuelle, et le pilote Red Bull explique qu’il fait en sorte d’être tranquille lorsqu’il dispute des compétitions.

"Pendant les journées d’entraînement, oui. J’ai deux chats, et ils sont toujours en train de courir partout. Ma petite amie a une fille, et il lui arrive de me taper sur l’épaule. Mais le jour de la course, je m’assure que personne n’interfère, je ferme les portes et personne n’est autorisé à s’approcher à moins de 10 mètres de mon simulateur."

Verstappen explique en quoi piloter sur son simulateur l’aide en tant que pilote professionnel, en dépit des différences entre virtuel et réel : "L’essentiel, c’est que sur toutes les plateformes de simulateur, je pilote des voitures qui ne sont pas des Formule 1."

"Il faut donc s’adapter et changer son style de conduite, car chaque voiture exige quelque chose de différent en ce qui concerne la direction, l’accélérateur et les trajectoire. J’apprends constamment et je m’adapte à ce que je dois faire dans chaque voiture pour aller le plus vite possible."

"Au bout du compte, cela vous aide lorsque vous retournez en Formule 1, car vous avez toute cette expérience en tête. Parfois, vous n’êtes pas entièrement satisfait des réglages de votre voiture de Formule 1, mais vous pouvez vous appuyer sur toutes vos différentes expériences dans le simulateur."

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