Max Verstappen a connu une course plutôt fluide en Styrie, ayant mené l’intégralité des 71 tours de la course pour aller chercher sa quatrième victoire de la saison. Le pilote Red Bull n’a connu qu’une petite alerte avec sa pédale de frein dans le deuxième relais.
"Elle s’écrasait un peu entre le virage 9 et le virage 10 pendant le freinage, et elle revenait au virage 10" a expliqué Verstappen. "Nous allons regarder ce que c’était, mais je dirais que c’est arrivé deux fois."
Le directeur de l’équipe, Christian Horner, révèle que le problème était lié aux vibreurs : "Il y a eu ce qu’on appelle une sorte d’enfoncement, où vous passez sur le vibreur et où vous avez l’impression que la pédale est longue, ce qui est un mauvais ressenti. Mais une fois qu’il est resté loin des vibreurs et a géré, tout allait bien. Ce n’était pas grand chose."
Verstappen explique qu’il a pu faire le deuxième relais en durs sans devoir repasser par les stands car il a réussi à gérer ses gommes, contrairement en Espagne, et selon lui, c’est grâce au rythme affiché par sa RB16B sur le Red Bull Ring.
"A Barcelone, ce n’était pas comme ce qu’on avait aujourd’hui. Ils n’arrivaient pas à me suivre en termes de rythme, et avec un peu plus de performance, vous pouvez mieux gérer vos chronos."
"Cela finit par beaucoup aider les pneus, car ils sont extrêmement sensibles en termes de glisse, de blocages, et ils surchauffent très vite. Au final, il s’agit toujours de les gérer au mieux."