A la suite du Grand Prix de Bahreïn, lors duquel il a fait un tête-à-queue en essayant de se défendre face à Lewis Hamilton, Sebastian Vettel n’a pas été loupé par la presse italienne, qui l’a fortement chargé après cette erreur.
Mais l’Allemand l’assure, la pression n’est ni la cause de son erreur, ni une conséquence de celle-ci.
"Pour être honnête, encore une fois, je ne pense pas qu’il s’agisse de pression" répète-t-il.
"Ma course aurait évidemment pu être meilleure donc je dois analyser ce qu’il s’est passé. Je suis toutefois heureux de reprendre le volant mercredi [en essais]. Je pense que j’ai du travail."
Les grands quotidiens transalpins n’ont pas raté l’occasion de lui tomber dessus, La Repubblica expliquant que "Leclerc est le vrai rival de Lewis Hamilton", tandis que le Corriere della Sera a carrément expliqué qu’il a été "humilié" par Leclerc à Bahreïn.
Selon La Gazzetta dello Sport, Ferrari revient à Maranello avec "une évidence et deux problèmes. L’évidence est Charles Leclerc, et les deux problèmes sont la fiabilité et Sebastian Vettel."
Si La Stampa a simplement conseillé à l’Allemand de "trouver un coach mental et se raser la moustache", le Corriere dello Sport va plus loin en estimant qu’il ne représente pas le futur de la marque : "Mick Schumacher pourrait être bientôt aux côtés du talentueux Charles Leclerc."