Sebastian Vettel avait été bien protégé durant toute sa période chez Toro Rosso et Red Bull Racing, en tant que pilote de la filière jeunes de la marque autrichienne.
Puis l’Allemand a décidé de s’attaquer au défi Ferrari. Depuis 2015, tout allait bien pour lui face à Kimi Raikkonen mais, cette année, il a eu à gérer Charles Leclerc, le premier pilote de l’Académie Ferrari, un protégé de la Scuderia.
Selon son ancien patron, le Dr Helmut Marko, Vettel commence à ressentir le poids de la politique en F1 et particulièrement celle de Ferrari.
"Malheureusement je dois dire qu’il n’est plus dans le top 3 des pilotes de la grille. Il a souffert d’être battu par Leclerc. Mais vous ne pouvez pas non plus l’écarter et le mettre de côté pour l’instant," explique l’Autrichien à Motorsport Total.
"Peut-être qu’il a été pris par surprise, il ne s’attendait pas à voir Leclerc aussi rapide."
"Ferrari est aussi connue pour être très politique et Seb est lui probablement un peu trop honnête. C’est la conséquence de son temps passé chez Red Bull."
"Nous sommes très directs dans notre façon d’agir Mais je répète qu’il ne faut pas l’enterrer pour le moment."