Sebastian Vettel a-t-il encore craqué sous la pression ce dimanche à Bahreïn ?
Le pilote Ferrari est parti une nouvelle fois en tête-à-queue alors qu’il se battait roue contre roue contre un rival, Lewis Hamilton en l’occurrence. Cette 4e erreur en 10 courses passe mal du côté de la presse transalpine, qui a étrillé Vettel ce lundi, tout en soulignant à quel point Charles Leclerc a été exemplaire.
C’est peut-être dur à vivre pour le quadruple champion du monde, qui a été défendu par Hamilton en personne.
Après la course, Vettel a toutefois tenu à souligner qu’il n’avait pas craqué sous la pression.
"Pour être honnête, cela n’a même rien à voir avec ça. Ce qui s’est passé c’est que j’ai été vraiment surpris de perdre ainsi le train arrière. Une fois que le survirage est amorcé, c’est trop tard."
"Franchement, je dois regarder à nouveau les données et voir pourquoi ça s’est passé ainsi. J’admets mon erreur et je dois la digérer."
"Mais sur le coup, ça ne semblait pas être trop grave. Malheureusement Pirelli a vu que le pneu arrière gauche s’est délaminé avec l’abrasion sur la piste. Il manque tout un morceau du pneu que Pirelli cherchait encore après l’arrivée."
"Ensuite les choses ont empiré avec les vibrations, l’aileron avant s’est cassé et j’ai perdu encore plus de temps."