Sebastian Vettel était de retour à Maranello, à l’usine de Ferrari, dès ce début de semaine, juste après le Grand Prix de Russie.
Le pilote allemand était convié à une séance dans le simulateur afin de préparer le Grand Prix du Japon mais aussi à une rencontre en tête à tête avec Mattia Binotto suite aux évènements du début de la course de Sotchi, où Vettel avait résisté aux consignes de Ferrari.
La rencontre a été jugée "positive et constructive" selon le communiqué de Ferrari.
Mais Vettel avait aussi un programme d’essais pour le constructeur de kartings, Tony Kart, sur le circuit de Lonato en Italie.
"Même si dimanche a été une mauvaise journée, je ne voulais pas annuler ce test. Je trouve ça dommage de ne pouvoir piloter un kart que de manière assez rare. Nous avons un calendrier si chargé en F1. J’aimerais le faire plus souvent parce que c’est beaucoup de fun," commente-t-il.
"J’adore le karting, j’aimerais en faire plus alors peut-être que je vais essayer de mieux m’organiser."
Vettel a aussi pu goûter pour la première fois à un karting doté d’une boîte de vitesses.
"Cela se pilote de manière un peu différente et avec les rapports de boîte ça se rapproche un peu plus d’une voiture. J’ai beaucoup aimé !"
Vettel restera en Europe un peu plus longtemps que prévu, avant de rejoindre le Japon, puisqu’il a accepté d’effectuer les tests de dernière minute des pneus Pirelli pour 2020 à Barcelone, les 7 et 8 octobre. Mercedes y fera rouler Esteban Ocon et Red Bull alignera Jake Dennis.