En 2017, Sebastian Vettel et Lewis Hamilton luttaient pour le titre mondial, et en avaient chacun quatre à leur actif. Aujourd’hui, le Britannique file vers son sixième et le compteur de l’Allemand n’a pas évolué, mais ce dernier assure ne pas être jaloux.
"Je ne dirais pas que je suis jaloux, car j’apprécie ses efforts, ses performances et son succès," explique Vettel.
"Je pense qu’il le faut, car c’est évident. Si non, je ne sais pas, ce ne serait pas moi et ce serait mal, dans mes valeurs."
"Je pense qu’il le mérite. Lui et son équipe ont fait un super travail comme je l’avais déjà dit, on ne peut pas séparer l’un de l’autre. On peut toujours dire qu’on est jaloux, car on voudrait être à sa place et qu’on ne l’est pas. Mais je ne suis pas jaloux, cela fait partie du jeu."
S’il espère lutter pour le titre l’année prochaine, le pilote Ferrari sait qu’il doit se contenter des accessits cette année, et il juge cela normal, surtout face à l’ogre Hamilton : "Il ne peut y avoir qu’un vainqueur et une personne qui finit deuxième, troisième etc."
"C’est la nature du sport, et il a occupé cette place, ce qui signifie que les autres ne peuvent être que deuxième, troisième, quatrième, cinquième et ainsi de suite. C’est comme ça. Mais il n’y a aucune garantie que ce sera comme ça l’an prochain. Il y a toujours de l’espoir pour l’avenir."