Sebastian Vettel estime que Ferrari va maintenant pouvoir se concentrer sur ses problèmes, Monaco étant passé. Selon l’Allemand, cela se résume à une chose : trouver des appuis aérodynamiques, notamment à basse vitesse.
"Notre Ferrari n’a pas beaucoup évolué ces deux dernières courses parce que nous savons ce que nous devons travailler : la recherche de l’adhérence. Tout le monde est à fond à l’usine pour produire les pièces nécessaires," explique Vettel.
"Monaco étant particulier, il ne servait à rien de se concentrer sur cette course où nous savions que nous allions souffrir même si on a bien limité les dégâts avec la 2e place."
"Notre voiture n’est pas si mauvaise, comme je l’ai dit, il faut juste trouver un moyen d’avoir plus d’adhérence à basse et moyenne vitesse. Si vous connaissez le numéro du gars qui s’appelle ’Adhérence’ d’ailleurs, je suis preneur ! Cela fait des mois qu’on cherche à le joindre !"
"Plaisanterie à part, ce sera notre travail d’amélioration pour les 4 ou 5 prochaines courses, avant la pause estivale. Ce sera décisif pour savoir si nous pourrons lutter contre Mercedes. Trouver plus d’appuis, plus de grip, je ne vous dévoile pas un secret, c’est ce que nous devons faire. C’est un gros chantier chez nous et il n’y a que le travail pour réussir ça."