Dans le contexte de la crise sanitaire actuelle, il se murmure que l’on va demander aux principaux pilotes de rapidement décider de leur avenir, afin de ne pas fragiliser le très petit marché des transferts qui devrait avoir lieu entre 2020 et 2021.
Ainsi chez Mercedes comme chez Ferrari on aimerait avoir de la clarté quant aux intentions et aux prétentions salariales de Lewis Hamilton et Sebastian Vettel.
Interrogé sur son avenir, le pilote allemand a admis qu’il devrait certainement se décider avant même le premier Grand Prix de la saison, prévu fin juin ou début juillet. Donc sans savoir ce que vaut vraiment la Ferrari SF1000.
"Je ne pense pas qu’il y ait une vraie date limite pour décider. Mais en ce qui me concerne, tout va dépendre de quand nous aurons la première course. Il y a une grande chance en effet d’avoir une décision avant même cette première course. Parce qu’à l’heure actuelle il semble que nous n’allons pas rouler avant fin juin ou même juillet. Nous attendons tous."
"Mais la priorité n’est pas le contrat, c’est de faire en sorte qu’on gère tous au mieux la situation. C’est ce qui a été fait et tout a été mis en pause. J’imagine que c’est le cas pour les autres pilotes."
"Et il faut aussi voir la santé des employés, de Ferrari et la crise qui vient. L’Italie a été durement touchée. Tout cela a un impact."
A-t-il toutefois une idée ce qu’il souhaite comme nouvel accord ? Un an, plusieurs années ?
"Quel que soit le contrat, il faut que l’équipe et moi soyons à l’aise avec. La durée, je n’en sais donc rien. Dans le passé, j’avais pour habitude de signer pour trois ans.
"Je sais que je suis l’un des plus expérimentés sur la grille mais je ne suis pas le plus vieux et je ne pense pas qu’il y ait un âge limite. Donc, tout va dépendre de ce qui nous met à l’aise, Ferrari et moi."