James Vowles a de grandes ambitions pour faire remonter Williams F1 au plus vite et admet qu’il met volontairement son organisation sous pression.
Selon lui, l’équipe va subir presque trois années de travail en une seule afin d’être prête à temps pour 2026, avec les changements majeurs de réglementation qui se profilent à l’horizon.
"Nous abordons chaque week-end de course en voulant atteindre le maximum absolu que nous pouvons et nous sommes très compétitifs, ce qui signifie que notre classement au championnat de cette année – et au championnat de l’année prochaine – a un impact et un mérite significatifs pour nous," dit Vowles.
"C’est aussi une indication de où nous en sommes en tant qu’organisation. Mon travail consiste donc à équilibrer ces éléments, à m’assurer que nous faisons les bons choix."
"Je suis convaincu maintenant que nous avons une bonne vision d’avenir en arrière-plan. Que nous avons des équipes techniques qui travaillent efficacement, que ce soit sur une perspective aérodynamique ou sur le développement de concepts pour 2026. Et cela va être très, très fort dans les années à venir."
"Ce que nous essayons également de faire, c’est de nous assurer que notre entreprise est correctement structurée, de manière à pouvoir absorber près de trois années de travail en une seule, car c’est ce que nous demandons désormais à l’organisation afin de ne pas louper le coche de 2026."
"Il faut prendre un très bon départ en 2026 sinon c’est l’assurance d’être toujours en train de rattraper le retard sur les autres jusqu’au prochain changement de règles. Nous ne pouvons pas nous le permettre."