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Wehrlein regrette une carrière en F1 ’hors de son contrôle’

"La performance était là mais..."

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Pascal Wehrlein n’avait que 23 ans lorsque sa carrière en F1 a pris fin.

Largement considéré comme l’un des meilleurs jeunes pilotes dans le sport automobile mondial lorsqu’il a obtenu sa place en F1 à 21 ans, les choses n’ont pas fonctionné comme il l’aurait voulu malgré son appartenance à la filière Mercedes F1.

Au cours de sa première année, l’équipe Manor pour laquelle il conduisait a fait faillite et il a été contraint de chercher un nouveau baquet après seulement un an.

Le potentiel de Wehrlein lui a ouvert les portes de Sauber. Cette saison-là, il a marqué chacun des points de l’équipe, mais a finalement été obligé de laisser sa place à Charles Leclerc, soutenu par Ferrari, le partenaire technique de l’équipe d’Hinwil.

Wehrlein est philosophe aujourd’hui et affirme qu’il n’aurait probablement pas pu faire grand-chose de plus pour poursuivre sa carrière en F1.

"Je ne pense jamais à des choses que je ne peux pas contrôler," dit Wehrlein.

"La première année, quand j’ai perdu le baquet Manor, ce n’était pas sous mon contrôle. L’équipe a fait faillite."

"Lors de ma deuxième année avec Sauber, j’ai marqué tous les points mais je n’ai toujours pas obtenu de baquet l’année suivante."

"C’est comme ça que la vie est parfois. Je l’ai accepté. Je n’ai pas été trop déçu à la fin. Je pense que la performance était là mais je n’ai jamais eu de voiture super compétitive et je n’ai jamais été capable de marquer des points de manière constante."

"Nous avons obtenu une 7e place à Barcelone, une autre dans les points, la 10e, à Bakou, alors j’ai apprécié mon séjour là-bas, c’était toujours amusant mais cette équipe écrivait son propre chapitre et je ne faisais pas partie du prochain."

Wehrlein a tourné la page de la F1 dans sa carrière - qui l’a également vu devenir le plus jeune champion du DTM - en se tournant vers la Formule E, où il mène le championnat.

"Il y avait un chapitre DTM, un chapitre F1 et maintenant je suis dans mon chapitre Formule E."

"Le fait de pouvoir avoir une voiture avec laquelle je peux à nouveau gagner des courses est un sentiment qui m’a définitivement manqué. Je n’étais pas en mesure de me battre pour un championnat depuis longtemps, donc j’apprécie ce moment et je suis très heureux avec Porsche en Formule E, en tête des championnats."

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