Quand avez-vous participé à votre premier rallye, au volant de quelle voiture et qu’est-ce que vous avez fait ?
C’était au rallye de Montebelluno, un rallye local, sur asphalte, près de chez moi en 1994. J’avais une Opel Corsa et j’étais entrain de mener les débats. Mais malheureusement, je suis sorti de la route !
Quelle est la plus belle partie du métier de pilote de rallye ?
Chaque fois que je vais dans la voiture, ça me procure tellement une émotion d’excitation : il n’y a pas de jour embêtant, comme dans un bureau. J’adore le frisson de la vitesse et la possibilité de travailler avec des personnes exceptionnelles. C’est un sport où vous devez gérer un grand nombre de choses dans votre tête, et également avec d’autres personnes. De sortes que vous tirez beaucoup d’enseignements sur la vie et sur les gens. Je me sens vraiment privilégié, chaque jour, de l’opportunité que j’ai de faire ça.
Si vous n’étiez pas pilote de rallye, qu’est-ce que vous aimeriez faire et pourquoi ?
Je ne suis pas vraiment sûr, parce que c’est toujours ce que j’ai voulu faire. Mais ça sera quelque part dans le sport, j’en suis persuadé, parce que ma personnalité m’y guiderait. Sûrement dans le sport automobile ; peut-être même en motocyclisme, car j’adore les motos. Je n’en conduis plus sur la route, car je pense que les routes sont vraiment devenues trop dangereuses…