Le retour en endurance de PEUGEOT se concrétise. Après avoir dévoilé les premières esquisses de son Hypercar et les caractéristiques de son powertrain LMH, PEUGEOT Sport passe un troisième jalon en officialisant la liste des sept pilotes qui défendra ses couleurs dans le championnat du Monde d’endurance FIA (FIA WEC) et lors des 24 Heures du Mans.
Au cours de leur carrière respective, ces sept pilotes ont partagé des moments intenses aussi bien en Formule 1 qu’en endurance. Ils ont été équipiers, adversaires mais aussi complices dans leur quotidien et dans leur préparation sportive.
L’endurance est une discipline impitoyable où l’aspect humain est prépondérant. Un esprit d’équipe sans faille est primordial pour mener à son terme une course avant même d’envisager une victoire. Dès cette année 2021, la formation de six pilotes titulaires et du pilote de réserve / simulateur va contribuer au développement de l’Hypercar ainsi qu’aux différentes étapes de construction du programme avec les équipes de Peugeot Sport.
“Le lien entre tous les acteurs du projet est essentiel, insiste Jean-Marc Finot, Directeur du programme. Outre la performance, dans nos critères de sélection et lors de nos entretiens, nous avons beaucoup insisté sur le lien entre chacun, leur état d’esprit & leur capacité à travailler ensemble, à fédérer, stimuler et pousser l’équipe. Cet aspect humain est primordial en endurance. Il était aussi essentiel qu’ils nous démontrent leur motivation pour faire de cet engagement leur priorité et non une simple étape de leur carrière.”
Pour être sélectionnés et retenus, les sept pilotes ont été jugés principalement sur des critères de performance basés sur des épreuves WEC mais aussi ELMS et IMSA. “Nous avons regardé tous les championnats d’endurance sur les 5 dernières années, complète Olivier Jansonnie, Directeur technique WEC de Peugeot Sport. Le résultat brut en course ne fut pas l’élément essentiel. Nous avons également étudié la vitesse, la constance et la fiabilité d’un grand nombre de pilotes. Nous voulions une composition complémentaire, éclectique mixant jeunes espoirs, pilotes expérimentés mais aussi des pilotes reconnus pour leur qualité de développement notamment en hybridation”.
En complément de leur engagement respectif dans divers championnats cette année, les sept pilotes officiels PEUGEOT vont contribuer chaque jour à l’avancement du projet pour atteindre l’objectif d’une première séance d’essais fin 2021.
Les 7 pilotes retenus sont :
— Loïc DUVAL_France (38 ans), Vainqueur FIA WEC & 24H Le Mans / Champion Formule Nippon & Campus
— Kevin MAGNUSSEN_Danemark (28), 119 départs en Formule 1 / Champion Formule Ford & Renault 3.5
— Jean-Eric VERGNE_France (30), 58 départs en Formule 1 / 2 titres de Formule E / Champion Formule 3 & Campus
— Paul di RESTA_Ecosse (34), 59 départs en Formule 1 / Vainqueur 24H du Mans LMP2 / Champion Formule 3 Euroseries / Champion DTM
— Mikkel JENSEN_Danemark (26), Champion ADAC Formule Masters / champion ELMS LMP3
— Gustavo MENEZES_USA (26), Vainqueur FIA WEC & 24H Le Mans LMP2
— James ROSSITER_Angleterre (37), Pilote de réserve / simulateur, Expérience en monoplace (Super Formule), en endurance (Super GT & LMP2) & pilote d’essais et de réserve en Formule 1
Loic DUVAL
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
Depuis 2008, lorsque je suis allé au Mans pour la première fois, je suis devenu un grand fan de cette course et de l’endurance. J’ai eu la chance de rouler avec une Peugeot au Mans en 2010 et 2011. Quand j’ai découvert la nouvelle du retour de Peugeot, j’ai su que c’était quelque chose que je voulais faire avec ce constructeur.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
JEV est celui que je connais le plus. Je me souviens de l’époque où il était encore en F1 et où il vivait en Suisse. Il venait chez moi et nous passions donc beaucoup de temps ensemble. Nous nous entraînions pendant l’hiver à Chamonix. Lorsqu’il court en Formule E, mes enfants crient son nom quand ils le voient à la TV.
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
Cela représente tout pour moi. J’ai toujours été un grand fan des sports d’équipe. En monoplace, on n’a jamais le sentiment de pouvoir partager avec ses coéquipiers. L’endurance coche toutes les cases de ce que j’attends du sport auto : l’atmosphère, l’émotion et l’esprit d’équipe. Le Mans est un course incroyable, iconique et impitoyable.
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
Le graal ! En sport automobile, il y a peu de courses que tout le monde connaît : Monaco en F1, l’Indy 500 mais Le Mans est le top du top. Peut-être parce que je suis français ! Le défi des voitures et des équipes d’atteindre de si grandes vitesses avec une telle fiabilité est incroyable ! Piloter de nuit et de jour est quelque chose d’extraordinaire.
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
Je dois dire que ce n’est peut-être pas le plus positif, mais je me souviens de ma participation au Mans avec la 908 en 2010. Deux heures avant la fin de la course, mes coéquipiers et moi roulions vers notre premier podium et malheureusement, nous avons subi une défaillance technique. Cela m’a vraiment brisé le cœur et a été très difficile à avaler. D’un autre côté, c’est là que tout à commencer. Ensemble, nous avons des affaires à régler au Mans et il est grand temps de gagner cette course !
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
La 905 est une magnifique voiture, j’adorerais l’essayer sur le circuit du Mans. Je suis un grand fan des courses historiques comme le Mans Classic.
Quel est votre plat préféré ?
C’est la blanquette de veau, mais uniquement celle de ma mère !
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Une salade tomate/mozzarella avec un peu de pâtes et du saumon, suivi d’une salade de fruits. Mais juste une petite portion !
Quelle est votre principale qualité ?
Je me remets toujours en question. Quand je fais quelque chose, j’analyse comment je peux mieux le faire.
Kevin MAGNUSSEN
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
Je ne pense pas qu’il soit difficile d’être motivé. Peugeot a une grande histoire au Mans. Mon ambition est de réussir et de gagner. La décision de rejoindre Peugeot n’a pas été difficile à prendre étant donné les succès remportés par le passé, non seulement au Mans mais aussi dans le sport automobile en général.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
Je n’ai encore jamais travaillé avec aucun d’entre eux. Bien sûr, je les connais tous et j’ai été très heureux de voir la composition de l’équipe. Ils sont tous incroyablement talentueux et je suis sûr que nous ferons un très bon travail ensemble. J’ai couru avec Jean-Eric en Formule 1, mais je ne le connaissais pas bien jusqu’à présent. J’ai hâte de mieux les connaître.
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
Mon père a participé au Mans pendant plus de 20 ans. J’ai toujours suivi la course et j’y ai été moi-même à plusieurs reprises. C’était un de mes rêves de disputer cette course un jour. Je ne pouvais pas imaginer une meilleure façon de le faire qu’avec Peugeot.
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
Je veux gagner le Mans, c’est mon but et mon ambition.
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
Il est difficile de choisir entre les victoires que Peugeot a remportées aux 24 Heures du Mans. Je pense que chacune d’elles illustre le succès de Peugeot et les capacités de l’équipe. J’espère ajouter une victoire à cette liste.
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
La 905. J’adorerai être au volant d’une telle voiture, sentir les vibrations et le son qu’elle fait.
Quel est votre plat préféré ?
J’adore la nourriture indienne, comme le poulet tikka masala.
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Certainement pas du poulet tikka masala ! J’aime varier : poulet ou saumon ou autre poisson, légumes et quelques pâtes ou pommes de terre, pour obtenir les calories nécessaires pour une bonne énergie.
Quelle est votre principale qualité ?
Je n’aime pas vraiment parler de mes qualités, je préfère être humble et montrer ce que je sais faire sur la piste plutôt que d’en parler.
Jean-Eric VERGNE
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
L’histoire de Peugeot qui a gagné le Mans ! Et évidemment aussi notre team qui a l’objectif de gagner. L’équipe apportera son soutien aux six autres pilotes et a une très bonne voiture, ce qui est le plus important quand vous courez au Mans. Ensemble, avec Peugeot, je pense que cela va se réaliser. Le fait également que je sois français. C’est un sentiment assez magique que Peugeot, constructeur français, et moi, pilote français, nous engagions au Mans.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
J’en connais certains plutôt bien. Évidemment, Loic, un ami de longue date, Mikkel, mon coéquipier en endurance l’année dernière avec qui nous avons partagé de supers moments. Nous nous rencontrés il y pas mal de temps avec Kevin en Formule 1 tout comme Paul. Il était très en colère contre moi lors d’une course à Monza en 2014 parce que je ne l’ai pas laissé passer. Il est venu me voir après la course et il n’était pas content ! La première fois que j’ai rencontré Gustavo, nous sommes allés faire du shopping ensemble à Tokyo. Nous avons un groupe d’amis commun !
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
J’ai toujours su que je voulais disputer les 24 Heures du Mans. La première fois que j’ai piloté une monoplace, c’était au Mans, en Formule Campus. Je me souviens d’avoir été dans l’immense tribune et de m’être senti si petit. Quand j’étais à la Filière, un peu plus tard, je suis allé y assister. Je me souviens d’avoir été époustouflé et d’avoir dit : "Je veux gagner cette course un jour". Ce sont aussi des moments incroyables que vous partagez avec votre équipe. Normalement en monoplace, vous vous battez contre vos coéquipiers et les autres pilotes. L’endurance rapproche les pilotes tout au long de la saison ou pendant votre carrière… et qui sait où nous serons dans 10 ans ! Mais nous aurons partagé une énorme aventure et cette expérience lie les gens pour toujours.
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
Je veux les gagner plusieurs fois
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
Quand Peugeot a gagné le Mans !
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
J’ai hâte de piloter notre Hypercar !
Quel est votre plat préféré ?
La fondue savoyarde, même si je n’en mange qu’une fois par an !
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Des pates.
Quelle est votre principale qualité ?
Je n’abandonne jamais, je suis dur comme du fer.
Paul di RESTA
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
C’est réellement l’histoire et le professionnalisme de ces gars lors de leur dernière participation au Mans. Être impliqué et rejoindre l’équipe à la naissance du projet est vraiment excitant. Il y a 3 ans en débutant en LMP2, j’ai attrapé le virus de l’endurance.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
Je n’ai pas encore partagé beaucoup de temps avec mes coéquipiers. Je connais JEV, nous étions ennemis en F1 à l’époque ! Celui que je connais le plus, c’est Mikkel avec qui j’ai partagé un entrainement physique lorsqu’il était dans l’équipe junior et moi en DTM.
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
Le travail d’équipe ! Il est mis à rude épreuve. Lorsque vous regardez la course, vous voyez évidemment les 24 heures, mais ce que vous ne voyez pas, ce sont les semaines de travail précédentes. Tout le monde relève ce défi pendant des mois voire des années. Je pense que les pilotes ont le côté le plus facile, ils peuvent faire une sieste entre 2 relais !
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
La meilleure course au Monde ! Je l’ai remporté l’an dernier en LMP2 et j’ai ressenti les émotions de la victoire. Nous nous étions qualifiés en pôle et avons géré la course. J’ai hâte de revoir la foule et de partager l’expérience avec tout le monde.
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
Le dernière engagement de Peugeot au Mans, juste au moment où je commençais ma carrière en monoplace. Je suis très ami avec Alex Wurz, pilote PEUGEOT. Il m’a dit que c’était une incroyable équipe et ces voitures des icones.
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
Sans hésitation la 908 ! Quand j’ai vu son tour de démo l’an dernier au Mans, je me suis dit que je serais heureux de sauter dedans pour un tour de piste.
Quel est votre plat préféré ?
La Pizza, certainement une part d’Italie en moi.
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Du poulet avec des pâtes, une sauce tomate légère, un peu de parmesan et un peu de poivre épicé. L’alimentation est un élément clé au Mans.
Quelle est votre principale qualité ?
Ma meilleure qualité est d‘être capable de croire en moi. J’ai toujours été guidé mon père, il disait : " ta parole, ton engagement. Une fois que tu es engagé, peu importe que ce soit bien ou mal, tu vas au bout ". C’est l’adage de la vie que je poursuis.
Mikkel JENSEN
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
Le projet Hypercar est très intéressant et excitant. De nombreux constructeurs sont engagés. Peugeot a une belle histoire et a déjà gagné le Mans. Je suis très content de faire partie de l’aventure et j’ai hâte que cela commence.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
Avec Jean-Eric, lorsque nous étions coéquipiers, il n’y avait pas de pression et on passait toujours de bons moments. Il fait tout le temps des blagues ! C’était une chouette expérience pour ma première participation au Mans. J’ai connu Paul au camp de remise en forme, il était en DTM et moi en F3 junior. L’entraineur militaire nous a demandé de faire des pompes et des abdos à répéter 2000 fois ! Cela nous a pris 2 heures… Certains pilotes ont même été malades. Avec Paul, nous nous sommes soutenus. C’est probablement l’une des choses les plus difficiles que j’ai fait dans ma vie. Je sais donc que Paul est un coéquipier motivant.
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
Je pense que c’est ce qui se fait de mieux en sport automobile. Les 24 Heures du Mans c’est LA course. Tous les pilotes veulent l’épingler à leur palmarès. Ce n’est un secret pour personne qu’au Danemark, Tom Kristensen a rendu cette course très populaire. C’est la seule course, F1 incluse, qui est diffusée sur la chaîne nationale aux journaux télévisés.
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
Je dirais travail d’équipe, passion et implication car c’est ce qui est nécessaire pour gagner
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
Je n’ai que 26 ans. Mais la victoire de la 908 au Mans est celui dont je me souviens.
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
La 905 est une super voiture, j’adore les autos classiques. Ce serait un rêve de pouvoir la conduire. La 205 Turbo 16 est également très sympa. J’adorais les voitures de rallye quand j’étais enfant. Je trouvais ça cool et j’adore leur bruit. Cette voiture est incroyable avec son petit poids et son faible empattement. C’était la voiture que je choisissais en e-Sport quand j’étais jeune.
Quel est votre plat préféré ?
J’aime tout, italien, pizzas, pâtes, sushi, une bonne viande. Si je devais choisir, je choisirais un menu typique de Noël danois. Au Danemark, nous avons un plat que tout le monde mange : c’est du canard avec des pommes de terre, caramélisées ou non, avec de la sauce. Ce n’est pas très diététique, c’est pourquoi on n’en mange qu’une fois par an !
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Je mange toutes sortes de salades, dans lesquelles j’ajoute des pâtes, du poulet, du poisson ou quelque chose de léger. Je n’aime pas manger trop lourd ou manger trop de pain ou de viande avant de piloter.
Quelle est votre principale qualité ?
Je pense que j’apprends vite. J’ai commencé le karting à 15 ans, ce qui est plutôt tard. Mais 2 ans plus tard, à 17 ans, j’étais déjà en F4. Aujourd’hui nous avons moins d’essais, il est donc important de trouver un bon rythme sans avoir passé beaucoup de temps sur la piste.
Gustavo MENEZES
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
J’ai toujours admiré la ténacité de Peugeot à se battre pour la victoire dans tous les domaines. Pour être honnête, j’ai commencé à regarder les courses d’endurance à l’apogée du duel Peugeot contre Audi. Dès que j’ai entendu que le retour était une réalité, j’ai su que je devais trouver un moyen de rentrer en contact avec Peugeot et s’associer nos objectifs de victoire.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
Je connais JEV depuis un certain temps maintenant, un gars drôle et très déterminé. J’ai piloté contre Mikkel Jensen en Karting. Nous sommes amis depuis très longtemps avec James et nous nous parlons presque tous les jours. Loic et moi nous sommes retrouvés chez Rebellion. Il est très motivé. Je n’ai pas eu la chance de rencontrer encore Paul et Kevin, et je suis impatient de les rencontrer !
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
Cela représente mon crédo : la persévérance. Le Mans c’est plus qu’une course, plus que de l’endurance, c’est de la persévérance, ne jamais abandonner. L’équipe devient une famille. Et après des semaines de travail éreintant, si tout se passe bien et que tout le monde reste motivé, alors peut-être rentrerez-vous avec une victoire !
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
Intemporelles !
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
La victoire en 2009 : c’était la première fois que je regardais vraiment Le Mans et les batailles étaient historiques.
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
La 908 de 2009 avec son V12 bi- turbo ! Ce serait un rêve que de conduire cette auto avec son moteur qui crie comme ça.
Quel est votre plat préféré ?
Rien au monde ne ressemble à un steak japonais ! Mais pour tous les jours, je suis un grand fan de plat de poulet et de riz !
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Je mange du poulet avec du riz et des œufs quasiment à chaque fois que je dois monter dans la voiture.
Quelle est votre principale qualité ?
Je suis très ouvert, honnête et j’adore parler et inspirer les autres pour qu’ils tirent le meilleur d’eux-mêmes.
James ROSSITER
Qu’est-ce qui vous a motivé à rejoindre Peugeot pour son retour en endurance ?
Le Mans est un rêve pour tout pilote et la chance de travailler pour un constructeur aussi prestigieux ne se présente qu’une fois. J’ai vraiment hâte de mettre toute mon expérience au service de ce projet et de se battre pour la victoire au Mans.
Au cours de votre carrière avez-vous partagé une anecdote avec l’un de vos équipiers ?
J’ai de bons souvenirs avec Loïc de l’époque où nous étions coéquipiers en Formule 3 mais il y a aussi beaucoup d’aventures amusantes partagées avec Gustavo puisque nous sommes amis depuis de nombreuses années. JEV est également un ami très proche et nous passons beaucoup de temps ensemble, il me fait toujours rire mais sait quand être sérieux. Cela dit, découvrons comment cette nouvelle aventure va se dérouler car devrait devenir une grande histoire !
Que représentent pour vous l’endurance et les 24 Heures du Mans ?
Les 24H du Mans sont le test ultime de l’homme et de la machine. Le niveau d’implication requis de la part de toute l’équipe pour aller chercher la victoire est incomparable. Il représente le défi ultime dans notre sport.
Si je vous dis 24 Heures du Mans, vous dites ?
Allons-y !
Dans l’histoire de Peugeot, quel moment en compétition vous a le plus marqué ?
Climb Dance … Si vous ne connaissez pas, cherchez sur Youtube. Vous me remercierez dans 5 min !
Quelle Peugeot de compétition rêveriez-vous de piloter ?
La Peugeot 405 T16 de 1988 dans Climb Dance.
Quel est votre plat préféré ?
Les pâtes japonaises ! Après avoir vécu au Japon aussi longtemps, j’adore les Uni)
Quel est le meilleur plat avant une course ?
Des pâtes et un peu de salade.
Quelle est votre principale qualité ?
Un gentleman ne se révèle jamais !